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 Sondage 1er emploi : le rêve, la promesse, la réalité (un an après)

  • ulysse
  • Dimanche 15/06/2014
  • 19:28
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Jeune diplômé, en poste en entreprise depuis quelques mois, c’est le moment de faire le point :

- Quelles étaient vos attentes au moment de votre recherche d’emploi, à la fin de vos études ?

- Qu’est ce que l’entreprise a mis en avant au moment du recrutement ?

- Qu’avez-vous constaté dans la réalité ?

- Avec le recul de cette première expérience, quels sont les points qui seront importants pour vous dans votre prochain poste ?

 

Stagiaires ou apprentis :

- Compte tenu de votre expérience actuelle en entreprise, quels seront les points importants pour vous dans la recherche de votre 1er emploi ?

 

Merci de prendre quelques minutes pour répondre à ce questionnaire.

 

Cette enquête s’adresse :

- aux jeunes professionnels diplômés Bac +3, Bac + 5  et plus, en exercice (maximum 2 ans d’expérience).

- aux alternants, apprentis et stagiaires en fin d’études (minimum 6 mois de stage).

 

Cette enquête est organisée par NANKITA et MIND, cabinets de conseil en Ressources Humaines. Elle a pour objectif de mesurer les éventuels décalages entre les attentes des jeunes diplômés et la réalité de leur insertion dans le monde de l’entreprise lors de leur premier poste.


Répondre au sondage.

 

 Sondage sur les tableaux de bord et indicateurs de pilotage

Des tableaux de bord utiles ?

  • ulysse
  • Dimanche 15/06/2014
  • 16:52
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Les tableaux de bord ont envahi les discours, les systèmes d'information et le management en entreprise : reporting, indicateurs de performance, système décisionnel…

À l'occasion de la réédition de son livre « Élaborer des tableaux de bord utiles » (GERESO Editions), l’auteur, Marie-Hélène Millie, souhaite vous donner la parole, vous qui vivez ces tableaux de bord et indicateurs au quotidien.

Managers, contrôleurs de gestion, professionnels RH, métiers opérationnels ou fonctions supports, vous êtes tous concernés !

Donnez-nous votre avis sur vos tableaux de bord en répondant à notre sondage (10 questions / 5 minutes) à l'adresse suivante : 

 

 

http://gere.so/sondage-tdb

Vos réponses resteront anonymes. Merci !

 Résultats de l'enquête HSBC sur les expatriés Expat Explorer 2011

  • ulysse
  • Samedi 17/12/2011
  • 14:25
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A lire et à consulter sur le site d'HSBC:


http://www.hsbc.fr/1/2/hsbc-france/a-propos-d-hsbc/informations-presse/liste-cp?i=D66

http://www.expat.hsbc.com/1/2//hsbc-expat/expat-experience/expat-explorer

 Expatriation- Qualité de vie et sécurité personnelle

Classement pour 2011

  • ulysse
  • Mercredi 30/11/2011
  • 17:17
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Le site Mercer permet d'accéder aux résultats de leurs études : tableaux classant les pays par qualité de vie et aussi selon la sécurité personnelle.


http://www.mercer.com/qualityofliving

  • European cities dominate worldwide Quality of Living ranking, with cities in Australia, New Zealand and Canada also ranked highly. Singapore is the first Asian city in the Top 25, at 25.
  • Vienna is No. 1 in the Quality of Living ranking.
  • Luxembourg tops our Personal Safety ranking, with Bern and Helsinki following.
  • Baghdad has the lowest quality of living among the 221 cities we ranked and is also last in the Personal Safety ranking.

 

 Enquête sur l'expatriation des Français en 2008- Direction des Français de l'Etranger

  • ulysse
  • Lundi 16/03/2009
  • 17:59
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La Maison des Français de l'Etranger vient de publier les résultats de sa deuxième enquête sur les Français expatriés. L'objectif était de mieux cerner le profil socio-économique de cette population très hétérogène. En effet, les données consulaires sont essentiellement axées sur l'état civil des personnes et ne reflètent pas leurs conditions de vie, leurs motivations à l'expatriation, leurs attentes...Une partie du questionnaire visait à apprécier les relations des expatriés avec l'administration française, dans un souci d'amélioration des services.
L'enquête a recueilli par Internet le témoignage de 2971 expatriés et 334 candidats au départ.
Vous pouvez lire cette
enquête dans son intégralité. Elle présente le mérite de poser clairement les limites des résultats obtenus. Le format de l'enquête (questionnaire par Internet) induit un biais dans l'interprétation des résultats. L'échantillon obtenu n'est pas nécessairement significatif par rapport à la population expatriée dans son ensemble. Cela "conduit à sur-représenter la catégorie des jeunes actifs expatriés, familiarisés avec le fonctionnement de l'Internet" (extrait).
Les résultats mettent en évidence un profil :
- plutôt jeune et masculin (dans des proportions différentes de celles des inscriptions consulaires)
- diplômé et actif (expatriation professionnelle dans plus d'un cas sur deux, ce qui ne correspond pas à la réalité économique)
- localisé principalement dans les zones : Europe occidentale, Asie Océanie, Amérique du Nord. Mais dans des proportions très différentes de celles des inscriptions consulaires! L'Asie apparaît sur-représentée par rapport à la réalité. Ainsi la Chine représente 9,9% de cet échantillon, contre 1,4% de la population inscrite!
Cela diminue-t-il l'intérêt des résultats de cette enquête ?
A mon avis non, pour les raisons suivantes :
De part le caractère spécifique de cet échantillon, on peut avoir une idée de ce que sera l'expatriation de demain, les destinations favorites, les motivations au départ...A ce titre, l'acquisition de nouvelles expériences, la découverte d'une culture  étrangère...arrivent loin en tête devant les motivations purement financières. Intéressant aussi : l'énoncé et le classement des difficultés éprouvées dans les pays d'accueil, et les nuances selon les catégories professionnelles (mais difficile de déméler la cause de la conséquence). On y apprend aussi que les informations utilisées dans la préparation au départ proviennent presque aux deux tiers (61,7%) d'un "ailleurs" non identifié , provenant ni des administrations, ni des entreprises. 
Guère surprenant quand on observe la prolifération des supports médiatiques sur ces thèmes de l'expatriation (y compris .... nous mêmes !). 
Bref, cette enquête apporte un éclairage intéressant sur cette catégorie particulière d'expatriés que sont les jeunes actifs salariés. Je trouve dommage qu'elle n'ait pas pu être diffusée de façon plus large, de manière à être plus représentative de la population des Français de l'étranger. Car je la trouve bien conçue, et riche sur un plan thématique.

Marie Hélène Millie Timbal

Pour ceux qui aiment les chiffres , les statistiques des inscriptions consulaires peuvent être consultées pays par pays sur le
site du Sénat.
 

 Les Rémunérations dans le monde en 2008

Etude Mercer sur les salaires 2008.

  • ulysse
  • Dimanche 25/01/2009
  • 21:17
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Les résultats de l’enquête Mercer sur les salaires 2008 ont été publiés et commentés dans le Figaro du 26/01/2009.

 Cette étude s’attache à comparer les niveaux de salaires nets de charges sociales et fiscales, incluant les parties fixes et variables des rémunérations. Vous trouverez les chiffres principaux dans l’édition papier du Figaro (et l’étude complète chez Mercer). En voici une petite synthèse graphique réalisée par mes soins :

 

 
Voir le graphique 

-          Les rémunérations les plus élevées ne sont pas en France mais en Allemagne, au Royaume Uni, aux Etats-Unis, en Belgique pour certains postes. Du moins sur l’échantillon présenté ici car la France est distancée également par d’autres pays, non représentés dans cette synthèse (la Suisse par exemple).

-          Les écarts de salaires directeurs/ouvriers sont beaucoup plus importants en Chine et en Inde qu’en France. Et plus importants en France que dans les pays germanistes ou anglo-saxons. Certains y verront l’influence du facteur culturel dans la construction des systèmes de rémunération. En particulier la notion de « distance hiérarchique » est beaucoup plus forte dans les pays asiatiques et peut expliquer les importantes disparités  de rémunération d’un bout à l’autre de la chaîne hiérarchique. 

-          Les écarts de salaire entre pays sont moins marqués sur les postes hiérarchiquement élevés. Ce point est lié au précédent bien sûr. Mais il peut aussi s’expliquer par les forts besoins en compétences en Chine, et par le turnover très important observé récemment sur les postes qualifiés dans ce pays. La hausse des rémunérations des postes de directeurs s’explique ainsi par un souci de fidélisation.

-          Ces éléments sont fortement corrélés aux variations monétaires. Les taux de change retenus sont de novembre 2008. Un euro fort par rapport au dollar et à la livre réduit les écarts observés entre la zone euro et les Etats-Unis ou le Royaume Uni. 

-          Ces éléments sont à compléter par l’étude du coût de la vie. Le pouvoir d’achat dépend des salaires mais aussi des prix, ce qui peut modifier le classement .

Enfin, comme toujours, il faudrait compléter cette approche par une vision plus globale de la rémunération, en incluant les facteurs non monétaires (avantages en nature), les facteurs de protection sociale  à plus ou moins long terme (couverture santé, prévoyance, retraite), les éléments relatifs à l'intéressement. 
Tout dépend de ce qu'on cherche à mettre en évidence ou à négocier : un simple niveau de salaire par rapport au marché mondial dans un contexte de mobilité internationale...ou la mise en place d'une politique globale de rémunération ? Mais plus on inclut d'éléments dans les comparaisons et plus celles ci deviennent hasardeuses !

Marie Hélène Millie

 

 

Lien vers l’article.

 

 Internationalisation des PME françaises.

Faire le point et aller de l'avant.

  • ulysse
  • Dimanche 04/01/2009
  • 12:25
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La Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris (CCIP) vient de publier un rapport* sur le développement international des PME. Un échantillon de 5652 établissements nationaux constitués de petites entreprises, moyennes entreprises, établissements de moins de 500 salariés, et de 500 et plus salariés; a été interrogé.
Le rapport distingue les PME non seulement par leur taille mais aussi en fonction de leur stade d’internationalisation. Il distingue quatre types d'entreprises:
- PME non concernées : pas d’activité à l’international
- PME opportunistes : activités irrégulières à l’international.
- PME en transition : activités régulières à l’international.
- PME matures : activité principale à l’international.
 
L’internationalisation des PME ne se traduit pas uniquement par les exportations même s’il s’agit de l’activité prépondérante. D’autres formes existent et incluent l’implantation à l’étranger selon des modalités très variées (création d’unités commerciales, joint-ventures …etc.)
 
Les freins à l’internationalisation apparaissent comme étant tout d’abord financiers (« les fonds propres et la trésorerie sont souvent insuffisants. ») Cependant, il apparaît  qu’il y aurait également une pénurie de compétences spécialisées. L’intégration de ces compétences spécialisées  pourraient accélérer le processus d’internationalisation. 
Dans la seconde partie du rapport, la CCIP fait une liste de « recommandations  pour favoriser le développement à l’international des PME.» au titre desquelles apparaît en dexième position  "développer une culture internationale au sein de PME en renforçant l’apprentissage des langues et la dimension internationale des formations".

Parmi les solutions favorisant le développement international des PME, on pourrait donc penser qu'une internationalisation au niveau national serait la toute première étape incontournable. 
 
Ces quelques quarante pages sont très utiles pour faire le point sur l’internationalisation des PME françaises, essentiellement dans un contexte de crise et dans une économie mondiale dans laquelle les PME françaises sont devancées par des PME allemandes ou italiennes.
 
A décharger sur :
www.etudes.ccip.fr


*Rapport de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris : Favoriser le développement international des PME : pour une nouvelle approche adaptée aux différents profils des PME.
rapport de Mme E. HERVIER au nom de la Commission économiques, financière et fiscale.

 
Françoise Menou

 les indicateurs de l’OCDE 2008

Regard sur l’éducation

  • ulysse
  • Vendredi 12/09/2008
  • 11:33
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 L’OCDE vient de mettre en ligne les résultats d’une grande étude sur l’éducation dans les pays membres de l’OCDE (Les pays membres de l’OCDE sont : l’Allemagne, l’Australie, l’Autriche, la Belgique, le Canada, laCorée, le Danemark, l'Espagne, les États-Unis, la Finlande, la France, la Grèce, la Hongrie, l’Irlande, l’Islande, l’Italie, le Japon, le Luxembourg, le Mexique, la Norvège, la Nouvelle-Zélande, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la République slovaque, la République tchèque, le Royaume-Uni, la Suède, la Suisse et la Turquie) et les pays partenaires.
 
Au titre de la mobilité internationale, on peut se pencher sur le chapitre C, l’indicateur C3 montre au travers de nombreux tableaux de chiffres quelle est l’importance de l’internationalisation de l’enseignement selon les pays. Les étudiants français sont essentiellement mobiles dans des pays francophones, la Belgique étant en tête suivie de la Suisse. De même les étudiants allemands se retrouvent surtout en Suisse et en Autriche. 


Si vous n'avez pas le courage de lire
les 551 pages du rapport, lisez les pages 368 et suivantes. 
 
 
 « En 2006, plus de 2.9 millions d’étudiants étaient scolarisés dans un pays dont ils ne sont pas ressortissants, ce qui représente par rapport à l’année précédente une augmentation de 3 % des effectifs totaux d’étudiants étrangers déclarés à l’OCDE et à l’Institut de statistique de l’UNESCO. 
 
L’Allemagne, les États-Unis, la France et le Royaume-Uni accueillent à eux seuls 49 % de tous les étudiants étrangers dans le monde. En valeur absolue, les étudiants en mobilité internationale en provenance d’Allemagne, de Corée, de France et du Japon constituent la proportion la plus importante des effectifs d’étudiants en mobilité internationale originaires de pays de l’OCDE et ceux de Chine et d’Inde, la proportion la plus importante des effectifs d’étudiants en mobilité internationale originaires de pays partenaires.
Trente pour cent au moins des étudiants en mobilité optent pour des formations en sciences, en agronomie ou en ingénierie en Allemagne, aux États-Unis, en Finlande, en Hongrie, en Suède et en Suisse. »
Rapport OCDE page 369

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